Pierre Perret, c’est fou.

Prenez trois mots au hasard dans le dictionnaire : violon, piston, seins. Confiez-les à Pierre Perret, il vous les assemble pour fabriquer une ode à la beauté mammaire de la gente féminine. Elle avait des seins comme des violonsEt moi j’en jouais comme du pistonMes airs mélodieux faisaient jaillir de ses yeux rondsDe gros sanglots…