la Couque c’est tout un programme !
D’abord ce surnom abominable tiré d’un film de Polanski (« le bébé de Rosemarie » je crois), dans ce film il y a une espèce de monstre avec des bras de deux mètres de long qui garde une femme prisonnière.
Ce Frankenstein s’appelle Kookol dans le film et un copain mal intentionné a trouvé que je lui ressemblais (en fait il était jaloux car je plaisais aux filles et pas lui…. je l’ai su après coup….). Il m’a appelé comme ça et Kookol est resté avant de devenir la Couque (c’était mieux de franciser quand même !).
Il a fait toute sa carrière dans le journalisme la Couque, dans l’audiovisuel (France Télévision/Radio France). Quelle carrière ! (la Couque soupire à côté de moi…)
A fond dans les bouquins (beaucoup de policiers) dès le lycée et ensuite à fond dans la musique dans les années 70-80; la Couque est devenu un grand fan de cinéma et de peinture la sagesse venant.
Soyons franc, la Couque n’est pas un spectateur conventionnel et cherchera plutôt à descendre un film, un bouquin ou une expo merdique que passer de la pommade parce que les merdes en question plaisent au plus grand nombre («tout à fait» me glisse la Couque à l’oreille).
OUI, la Couque aime appeler un chat un chat et quelquefois – c’est son côté attachant – il est un peu brut de décoffrage quand il s’exprime. Mais il est plein d’humanité ce garçon.